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    Othon l'archer

    Le comte Karl en revenant de guerre s'arrête chez son vieil ami le comte Ludwig. Il le trouve en grande peine, torturé par le doute et la jalousie. Il soupçonne sa femme d'aimer Albert, il craint qu'Othon, son fils bien-aimé, soit le fils de cet amour coupable. Il ordonne donc à sa femme de quitter le château pour une abbaye, et destine Othon à une vie de moine dans un couvent austère. Mais Othon s'enfuit et s'engage dans une compagnie d'archers. Il va vivre beaucoup d'aventures...

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    Ourson Tête-de-Fer

    Un seul ami lui était resté fidèle dans sa détresse ; cet ami était un des chiens de son maître qui n'avait pas voulu l'abandonner et que de guerre las Boute-Feu avait fini par laisser en arrière, sans plus s'en occuper que de son engagé, dont il se croyait débarrassé à tout jamais. Ce fut alors que, poussé à bout par le désespoir et la nécessité, se révéla le caractère résolu, l'énergie indomptable de cet homme qui, blessé et privé de tout secours, au lieu de se laisser abattre par la douleur et de s'abandonner soi-même, se raidit au contraire contre l'adversité et entreprit bravement de lutter jusqu'au bout pour sauver sa vie.

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    Robinson Crusoé, tome I

    En 1651, Robinson Crusoé quitte York, en Angleterre pour naviguer, contre la volonté de ses parents qui voulaient qu'il devienne avocat. Le navire est arraisonné par des pirates de Salé (les fameux Sallee Rovers) et Crusoé devient l'esclave d'un Maure. Il parvient à s'échapper sur un bateau et ne doit son salut qu'à un navire portugais qui passe au large de la côte ouest de l'Afrique. Arrivé au Brésil, Crusoé devient le propriétaire d'une plantation.

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    Robinson Crusoé, tome II

    "Quand j’arrivai en Angleterre, j’étais parfaitement étranger à tout le monde, comme si je n’y eusse jamais été connu. Ma bienfaitrice, ma fidèle intendante à qui j’avais laissé en dépôt mon argent, vivait encore, mais elle avait essuyé de grandes infortunes dans le monde ; et, devenue veuve pour la seconde fois, elle vivait chétivement. Je la mis à l’aise quant à ce qu’elle me devait, en lui donnant l’assurance que je ne la chagrinerais point..."

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    Tartarin de Tarascon

    "En France, tout le monde est un peu de Tarascon" A Tarascon, Tartarin raconte partout qu'il est le plus grand chasseur. Pour raconter, ça, il raconte beaucoup, et pour expliquer, ça, il explique ! Mais les gens de Tarascon, eux, voudraient bien voir des preuves de son héroïsme... Alors, à force de le dire, Tartarin de Tarascon est bien obligé de partir... en Afrique, au pays des lions !

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    Tartarin sur les Alpes

    " Quel drôle de pays, pas moins, que cette Suisse..." s'écria Tartarin. Bompard se mit à rire. " Ah ! vaï, la Suisse... D'abord, il n'y en pas, de Suisse ! La Suisse, à l'heure qu'il est, vé ! monsieur Tartarin, n'est plus qu'un vaste Kursaal, ouvert de juin en septembre, un casino panoramique, où l'on vient se distraire des quatre parties du monde et qu'exploite une Compagnie richissime à centaines de millions de milliasses, qui a son siège à Genève et à Londres. Il en fallait, de l'argent, figurez-vous bien, pour affermer, peigner et pomponner tout ce territoire, lacs, forêts, montagnes et cascades, entretenir un peuple d'employés, de comparses, et sur les plus hautes cimes installer des hôtels mirobolants, avec gaz, télégraphes, téléphones ! ... "

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    Typhon

    Le vapeur Nan-Shan vogue sur la mer de Chine avec sa cargaison de coolies. Le capitaine MacWhirr, esprit héroïque et borné, son jeune second Jukes, homme de bonne volonté mais encore friable, et l'excellent chef mécanicien Salomon Rout, exercent à son bord les principales fonctions. Ils vont affronter la terrifiante épreuve d'un typhon. Ils y survivront, de même que le navire, l'équipage et les coolies ; mais tous auront été transformés par de surhumaines difficultés. Un chef-d'œuvre en miniature.

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    Vent-en-panne

    Nous avons abandonné l’Olonnais au moment où, grâce à l’appui que lui avait prêté Vent-en-Panne, il avait réussi à délivrer la duchesse de la Torre et sa fille des mains des Espagnols. Les deux dames s’étaient évanouies ; la duchesse, soulevée dans les bras robustes de Pitrians, fut transportée dans la clairière et remise à son mari : quant à la jeune fille, l’Olonnais ne voulut laisser à personne le soin de la rendre à son père. La poursuite des ravisseurs avait entraîné les flibustiers assez loin du lieu, où primitivement s’était livré le combat. L’Olonnais demeuré seul près de doña Violenta, car tous les flibustiers avaient répondu à l’appel de Vent-en-Panne, et s’étaient élancés sur ses pas, enleva délicatement la jeune fille entre ses bras, et se mit en marche pour rejoindre ses compagnons. Depuis quelques jours à peine, l’Olonnais avait débarqué à Saint-Domingue, c’était la première fois qu’il s’enfonçait si avant dans l’intérieur ; il ne connaissait pas le pays. À cette époque, déjà bien loin de nous, Saint-Domingue n’était en réalité qu’une immense forêt vierge ; coupée çà et là, par de fastes savanes, ou l’herbe poussait drue, et s’élevait parfois à six, sept, et même huit pieds de hauteur.

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    Vie de Polichinelle et se...

    “Le grand oncle de mon aïeul avait fait voir, dès son enfance, une furieuse passion de voyager : mais, par une suite de circonstances étrangères à cette histoire, il était arrivé à l’âge de soixante ans, sans avoir jamais poussé plus loin que Montmartre. « Il est véritablement ridicule, se disait-il fréquemment, que l’homme du monde qui souhaite le plus de voyager soit précisément celui qui ait vu le moins de pays. Car je n’appelle point voir du pays, aller de mon domicile de la rue Saint-Denis jusqu’aux moulins de Montmartre. Non !... Autant dire que je suis un âne. Car c’est un chemin que les ânes font tous les jours. »...”

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    Avant et après

    "A ma fenêtre ici aux Marquises à Atuana, tout s’obscurcit, les danses sont finies, les douces mélodies sont éteintes. Mais ce n’est pas le silence." P.G.

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