Choisies parmi les enquêtes les plus remarquables de Sherlock Holmes par le fidèle Watson qui a été personnellement mêlé à la plupart d'entre elles, voici treize «affaires» captivantes qui mettent en lumière les facultés étonnantes du célèbre détective.
Dans la banlieue de Melbourne, à Green Park, un vieil homme richissime est retrouvé sans vie chez lui. La police conclut à une mort naturelle et l'affaire est rapidement classée. Le témoignage d'une femme de chambre vient cependant tout bouleverser en incitant le détective privé Allan Dickson à reprendre les investigations. Elles le mèneront sur une piste fort surprenante... " Il n'y a dans tout un royaume qu'une façon d'instruire officiellement les affaires criminelles quand, à chacune d'elles, devrait au contraire correspondre un tour de main particulier inspiré de l'analyse de l'affaire elle-même. "
Sherlock Holmes vient à peine de déchiffrer un message codé le prévenant qu'un certain Douglas de Birlstone Manor House, est en grave danger, qu'il apprend par l'inspecteur MacDonald de Scotland Yard que Douglas vient d'être affreusement assassiné. Par le signataire du message, Sherlock Holmes sait que derrière cette affaire se trouve son ennemi juré : le professeur Moriarty, criminel génial et machiavélique. Accompagné de son fidèle Watson, Holmes se précipite à Birlstone... Rempli d'intrigues et d'action, La Vallée de la peur, où l'on voit Sherlock Holmes se mesurer avec Moriatry adversaire en tous points à sa taille, est sans doute le meilleur roman de Conan Doyle.
Une femme d’une cinquantaine d’années, la veuve Lerouge, est retrouvée sauvagement assassinée dans sa maison. Tous les indices conduisent à un jeune homme de bonne famille : les preuves matérielles sont accablantes. L’assassin paraît tout désigné et l’affaire bouclée, quand le doute s’immisce dans l’esprit de l’un des enquêteurs, le père Tabaret.
Coup de tonnerre dans la vie tranquille et rangée des Favoral, une famille typique de la bourgeoisie du Second Empire. Le banquier Thaller fait irruption chez eux au cours d'un dîner réunissant plusieurs de leurs amis. Il demande à voir le père, caissier principal du Comptoir de Crédit mutuel dont il est le directeur, et l'accuse publiquement d'avoir détourné une somme d'argent colossale. C'est la stupéfaction. Les hôtes, se comprenant ruinés, abandonnent toute dignité et n'hésitent pas à menacer un ami de vingt ans. Mme Favoral et sa fille Gilberte parviennent à garder leur sang-froid, tandis que Maxence, le fils, est accablé. En partant, Thaller jette une liasse de billets sur la table et encourage Vincent Favoral à fuir vers Bruxelles. Quelle obscure machination se cache derrière ce scandale et pour quelles raisons Thaller ne livre-t-il pas le coupable à la police ?
Extrait: "Un petit comptable, Vincent Favoral, devient la cible de tous les regards. Il est sur le point d’être arrêté pour détournement de fonds. Il parvient cependant à s’enfuir. Qui s’est-il passé, qui est-il? Son épouse est la fille d’industriels riches. Sa mère est décédée assez jeune et le père a dilapidé toute sa fortune. Avant de se remarier avec une femme qui va lui sucer le reste de sa fortune, il marie sa seule fille à Favoral. Tout va bien jusqu’à ce que Vincent perde son emploi. Cela ne pose pas de gros problèmes, étant donné que l’économie exagérée dont a fait preuve M. Favoral les met à l’abri, sa femme, ses deux enfants et lui-même du besoin."
Martial Procas est un scientifique reconnu, spécialiste des microbes pathogènes. De plus il est beau et le tout-Paris, en particulier féminin, accourt à ses conférences universitaires. Un jour, une belle Américaine attire son regard et il tombe éperdument amoureux de cette femme qui se révèle une aventurière et le quitte quelques semaines à peine après leur mariage. Quand il s'en rend compte, Procas est victime d'une crise très grave, un cas de cyanose dû à un rétrécissement de l'artère pulmonaire. Procas prend une teinte bleue qui ne le quittera plus. Dès lors, victime de la haine de ses semblables, il doit fuir car «rien n'était impressionnant comme cette face qui semblait celle d'un cadavre en décomposition et qui était cependant éclairée par deux yeux jeunes où se lisaient la douleur de vivre encore et l'exaspération de ne plus compter parmi les vivants...».
Le Chien des Baskerville (The Hound of the Baskervilles) est un roman policier, publié pour la première fois dans le Strand Magazine en 1901 et 1902. La légende court dans cette région du Devonshire (sud ouest de l'Angleterre), qu'un énorme chien crachant du feu de sa gueule béante serait à l'origine de la mort de Sir Charles Baskerville. Un de ses ancêtres, Sir Hugo Baskerville, trouva la mort mystérieusement après avoir commis d'immondes atrocités envers une jeune paysanne. Sherlock Holmes et le Docteur Watson enquêtent. Ils doivent protéger le dernier descendant des Baskerville revenu prestement du Canada, Sir Henry, qui lui ne croît pas à toutes ces balivernes.
Une femme décède mystérieusement dans un omnibus, sans qu'aucun passager ne le remarque. Paul Freneuse, artiste-peintre en vogue et témoin de la scène, entame une enquête informelle, avec un de ses amis...
Julia d'Orcival, femme du monde comme l'on disait alors, est assassinée dans sa loge lors du bal de l'Opéra. Trois personnage se mettent à la recherche du coupable : un juge d'instruction, son neveu et un ancien capitaine de hussards. Tome 2. Extrait : Ce nigaud ne se doute pas qu'il vient de m'indiquer le point le plus intéressant à vérifier. S'il était moins de trois heures du matin quand les sergents de ville ont trouvé le domino, mademoiselle Lestérel serait sauvée, puisqu'il est prouvé que le domino lui appartient et que Julia a été tuée à trois heures. Je me renseignerai moi-même, si Lolif ne me renseigne pas.