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    La dernière fée

    Depuis sa plus tendre enfance, Abel rêve de rencontrer une fée. Aussi quel ne sera pas son étonnement lorsqu'une nuit la "Fée de Perles" apparaîtra dans sa cabane ! Mais au village, seul Abel croit que les fées existent vraiment. Que se cache-t-il derrière ces apparitions mystérieuses ?

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    La laide

    Mon Dieu que c'est ridicule, une femme auteur Auteur ce mot est effrayant; il renferme tant de choses, tant de pensees diverses, tant de reflexions, que pour rien au monde je ne voudrais etre appelee ainsi. Nommez-moi, si vous voulez, reveuse, conteuse, causeuse, voire meme radoteuse; mais auteur ah grace grace a ce mot, je me sens au menton quelque chose que je ne puis definir, et j'y porte la main precipitamment. Vraiment, j'ai craint un instant d'y rencontrer la barbe de bouc de nos merveilleux de la jeune France; heureusement, il n'en est rien.

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    Le bec en l'air

    Des cris, la foule ne tarda point à passer aux projectiles. Quelques cailloux, que je n'hésite pas à attribuer à la malveillance, brisèrent les vitres et même les litres, et en général tous les objets en verre étalés à la vitrine. M. Pivre, attiré par tout ce fracas, et n'en devinant pas la cause, voulut réagir ! Ah ! il fut bien reçu, M. Pivre ! --- À l'eau, le sale Prussien ! À l'eau, le cochon d'Italien !

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    Le cachet d'onyx, suivi d...

    Lorsqu'il écrit Le Cachet d'onyx, Barbey a 23 ans. Il vit à Caen où il suit des études de Droit et s'intéresse à la politique. Ces années sont aussi marquées par la relation avec Louise, épouse d'Alfred de Méril, ainsi devenue cousine par alliance de l'auteur, relation qui bouleverse sa vie entière. Il semblerait que Louise soit la Maria à qui le narrateur s'adresse. Ce conte sonne ainsi comme une vengeance d'un jeune auteur déçu et blessé, à travers un récit brutal et froid.

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    Le carrosse aux deux léza...

    René Tardiveau, dit René Boylesve, est un écrivain français, né le 14 avril 1867 et mort à Paris le 14 janvier 1926. Extrait : La première fois qu'elle en fit la remarque à son homme, celui-ci n'en fut point du tout si content que vous pourriez croire, et il obligea la malheureuse à recommencer dix et vingt fois ses calculs, et il les fit lui-même. Les piécettes d'argent étaient là ; non qu'il plût, à vrai dire, des sacs d'écus dans les armoires ; mais, sou par sou, l'un arrondissant l'autre, le magot, au bout d'un temps, représentait de belles et bonnes économies. Et ceci ne s'était encore jamais vu, de mémoire d'homme.

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    Le diable amoureux suivi ...

    Jacques Cazotte est né à Dijon, en 1720, et il périt sur l’achafaud, à Paris, en 1792. Il a publié de nombreuses œuvres, mais il est aujourd’hui surtout connu pour un conte fantastique, Le Diable amoureux, publié à Paris en 1772. Extrait : Arrêtez, m'écriai-je, en me mettant les poings fermés sur les yeux, vous êtes le plus adroit, le plus insigne des faussaires. Vous parlez d'amour, vous en présentez l'image, vous en empoisonnez l'idée, je vous défends de m'en dire un mot. Laissez-moi me calmer assez, si je le puis, pour devenir capable de prendre une résolution.

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    Le grillon du foyer

    La charmante Dot, elle-même la plus heureuse des femmes grâce à son John de mari et mère comblée d'un Baby angélique, ne peut pas supporter de voir les gens malheureux. D'un coup de 'baguette magique' donc, elle fait le bonheur de tous autour d'elle.

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    Le livre des contes

    « Les contes sont la poésie des enfants. Ils ne sont pas vrais, dites-vous ? – Qu’entendez-vous par là ? Qu’il n’arrive rien de pareil sur la terre ? Je crois en effet que les bottes du petit Poucet ne faisaient pas sept lieues à la fois, puisque la vapeur n’était pas inventée, et j’admets que la Belle-au-Bois-dormant n’a pas dormi cent ans, puisque dans ce temps-là on ne faisait encore ni sermons ni discours ministériels ; mais en quoi ce détail touche-t-il à la vérité des choses ?... Cependant, y a-t-il au monde des gens plus vivants et plus réels que tous ces personnages qui n’ont jamais vécu ?... D’ailleurs, il faut bien que le goût des contes ait sa racine au plus profond de l’âme humaine, pour que ces fables, dédaignées des beaux esprits, aient résisté à tous les progrès des lumières, à tous les caprices des réformateurs. On leur jette en vain l’anathème, rien ne peut les anéantir. C’est que les contes, comme les légendes, les chansons, les proverbes, appartiennent à cette littérature anonyme, que le peuple aime, garde et propage, parce qu’il s’y reconnaît tout entier... »

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    Le Midi bouge

    Le recueil contient trente-deux contes, précédés d'une introduction. Extrait : « Chut ! dit-il à Tréfume en excellent français, pas de bruit, de scandale inutile ; asseyons-nous là dans ce coin. -- Voilà qui va bien ! pense Tréfume. » Mais l'Américain continue : -- « Je sais pourquoi vous venez à New-York ; êtes-vous homme à nous entendre ? -- Pourquoi pas ? répond Tréfume qui croit qu'il s'agit de l'héritage ; on peut toujours s'entendre entre braves gens. -- Braves gens ou non, voici dans ce portefeuille cinquante mille francs en bank-notes. Si vous voulez, ils sont à vous, avec une somme égale qu'un inconnu vous remettra au moment du départ, quand la Bretagne lèvera l'ancre. Car la Bretagne part ce soir, et vous partirez avec elle. Est-ce dit ? -- C'est dit ! -- Maintenant, topez là, nous ne nous sommes jamais vus. »

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    Le neveu de Rameau

    Le Neveu de Rameau ou La Satire seconde est un dialogue écrit par Denis Diderot sans doute entre 1762 et 1773. Il s'agit d'une discussion à bâtons rompus entre Moi, le narrateur, philosophe, et Lui, Jean-François Rameau, neveu du célèbre compositeur Jean-Philippe Rameau. L'épigraphe du livre, « Vertumnis, quotquot sunt, natus iniquis » (« né sous l'influence maligne de tous les Vertumnes réunis ») est à rapprocher du sous-titre de satire seconde, du latin satura (mélange). Au décès de Diderot, un exemplaire manuscrit part en Russie et un ou deux autres restent en France, dans la famille du philosophe. Quinze ou vingt ans après, un Russe, qui a lu et apprécié le livre, le fait découvrir à Schiller, qui le présente à son tour à Goethe.

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