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    Un cadet de famille

    Très tôt, le jeune Trelawney se révolte contre la brutale autorité paternelle. Mis en pension, il en est rapidement renvoyé en raison de son comportement violent. Son père l’envoie alors faire son apprentissage naval d’abord dans une école où il ne reste que peu de temps, puis sur une frégate anglaise en route pour les Indes. Lors d’une escale à Bombay, il se venge des outrages et humiliations subis pendant le voyage en molestant l’officier responsable. Obligé de déserter, il est alors pris sous la protection de De Ruyter qui lui accorde confiance et amitié. Avec cet aventurier marchand qui s’est mis au service des Français dans le but de causer du tort au commerce anglais, Trelawney va assister et participer à de nombreux abordages, pillages, poursuites de vaisseaux dans les eaux de l’Océan indien...

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    Un courtisan

    Cédant aux instances de l’inquisition, le roi d’Espagne Philippe III se résout à chasser de son pays tout le peuple maure. Le duc de Lerme, véritable maître du gouvernement, s’en occupe, aidé par Rodrigues Calderon, un parvenu d’origine incertaine, qui par son zèle s’attire la sympathie du roi et celle de son fils dont il devient le confident et compagnon de débauche. Un jour, don Martin Fonseca, un jeune militaire de haute famille, demande à Calderon d’intercéder pour lui auprès du duc de Lerme. Celui-ci refuse en effet de le laisser épouser la jeune fille qu’il aime, Margarita, une artiste qui s’est réfugiée dans un couvent. Devant sa position actuelle au fait d’avoir été le précepteur de ce jeune homme, Calderon lui promet de l’aider avant de se retrouver en face d’un cas de conscience. En effet, l’infant d’Espagne est lui aussi amoureux de la jeune fille et exige son aide! La mort dans l’âme, face aux pressions de l’inquisition, du roi et du duc de Lerme, Calderon se résout à aller dans le sens de son intérêt. Il complote donc un enlèvement avec Fonseca qu’il neutralise ensuite, pour laisser le champ libre au prince...

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    Un début dans la vie

    "Il n'y a rien de plus dangereux que de causer dans les voitures publiques. En diligence, d'ailleurs, les gens comme il faut gardent le silence." Si Oscar Husson suivait à la lettre ce conseil de sa mère, son «début dans la vie» ne tournerait certes pas à la catastrophe, mais il n'y aurait pas de roman. Il parle donc à tort et à travers, dans le «coucou» qui le mène de Paris au château de Presles, en compagnie de jeunes gens qui mentent comme ils respirent. Orient de carte postale, conquêtes féminines, châteaux en Espagne, tout est prétexte aux vantardises et à la blague. La morale de ce conte cruel (qui est aussi un roman d'apprentissage), c'est qu'un univers factice, bâti sur des phrases creuses, s'écroule à la première occasion. La réalité reprend alors ses droits, pour rétablir l'équilibre entre les mots et les choses, dont les rapports semblent gouvernés par la loi du talion.

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    Un dilemme

    "Dans la salle à manger meublée d'un poêle en faïence, des chaises cannées à pieds tors, d'un buffet en vieux chêne, fabriqué à Paris, rue du Faubourg Saint-Antoine, et contenant, derrière les vitres de ses panneaux, des récahuds en ruolz, des flûtes à champagne, tout un service de porcelaine blanche, liseré d'or, dont on ne se servait du reste jamais; sous une photographie de Monsieur Thiers, mal éclairée par une suspension qui rabattait la clarté sur la nappe, Me Le Ponsart et M. Lambois plièrent leur serviette, se désignèrent d'un coup d'oeil la bonne qui apportait le café et se turent."

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    Un enfant gâté

    Extrait: « Je veux me faire la barbe ! » Ainsi parlait un homme de dix ans sonnés, le petit Léopold Massereau. En fourrageant au fond d’un tiroir, il avait trouvé une paire de rasoirs usés jusqu’au fer. Saisi tout à coup par le désir de poser en grand garçon, il s’était juché sur un tabouret devant la glace ovale d’une toilette d’acajou, brandissait le rasoir et répétait d’une voix de commandement : « Je veux me faire la barbe !»

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    Un jardin sur l’Oronte

    Ce livre culte fascina et fascine encore politiques, poètes et créateurs. C'est en 1922 que Maurice Barrès publie son chef-d'œuvre le plus pur, livre de chevet de plusieurs générations d'écrivains et de créateurs assoiffés de Sud : Un jardin sur l'Oronte. Entre carnet de voyages et introspection géopoétique, ce texte exceptionnel préfigure Morand et Rondeau. Un bréviaire euroméditerrannéen à l'usage des nouvelles générations en quête d'une esthétique de l'absolu.

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    Un ménage de garçon

    1842. La Comédie humaine - Études de moeurs. Deuxième livre, Scènes de la vie de province - Tome II. Sixième volume de l'édition Furne 1842. Le docteur Rouget, malin et tyrannique, a su profiter de la Révolution française pour s'enrichir. Il a, de plus, épousé l'aînée de la famille Descoings, négociants qui se sont enrichis grâce à l'achat de biens nationaux. À sa mort en 1805, il dispose d'une grande fortune qu'il laisse dans sa quasi-totalité à son fils, Jean-Jacques, en déshéritant sa fille Agathe, émigrée à Paris. Celle-ci a épousé Bridau, fonctionnaire intègre, honnête, qui voua sa vie à Napoléon. À la mort de son mari, Agathe se retrouve seule, avec peu de ressources pour élever ses deux fils Philippe et Joseph.

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    Un mort tout neuf

    Extrait: "Construction imparable : quatre journées, presque un timing en temps réel. Ouverture : on apprend qu'Albert est mort (rappelez-vous le destin célèbre phrase de Molière : "le petit chat est mort"), deuxixème jour, la famille s'organise et le veille, troisième jour ce sont les formalités, quatrième jour on l'enterre. On ne vous fera grâce de rien, avec passage régulier au Bar du Télégraphe qui est la plaque tournante de ce petit monde. Des passages d'anthologie, lorsqu'on visite l'appartement du mort, et qu'on décortique ses papiers, actions, rencontres amoureuses, carnet de bord de sa voiture et de la société de pêche. Non, "Albert n'avait pas une vie aventureuse", mais c'est bien ce qui fait l'aventure de Dabit: lcette masse de petits secrets qui nous explose à la figure, alors c'est l'inconscient de toute une société, ce Paris populaire de 1934, un peu moins miséreux que dans 'L'hôtel du Nord", mais avec la même gouaille, la même verve. "

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    Un semestre en Suisse

    À l’hôtel Bellevue Comme toutes les grandes gares suisses, celle de Zurich – le Bahnhof – est luxueusement installée. La place qui s’étend devant la façade est ornée de la statue d’Alfred Escher, témoignage de reconnaissance envers l’homme d’État à qui l’on doit le chemin de fer du Saint-Gothard. Une avenue bordée de beaux édifices, plantée d’arbres touffus, joint cette place au lac, dont les eaux bleues frissonnent sous la brise des Alpes. Un matin d’avril, le train de Paris-Belfort-Bâle venait d’entrer en gare ; les fiacres, les omnibus d’hôtel étaient déjà rangés en bordure du trottoir de l’arrivée. Bientôt les voyageurs parurent dans le vestibule, puis partirent à droite, à gauche, ou hélèrent des véhicules à leur convenance.

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    Un tuteur embarrassé

    Roger Dombre, de son vrai nom Mme Andrée Sisson, est l'un des auteurs populaires les plus prolifiques. La critique qualifiait la multitude de nouvelles et romans qu'elle a écrits, d'attachants, originaux et pétillants d'esprit. Extrait : Mon oncle, lui, pouvait avoir affaire ailleurs ; mes tantes aussi, appelées au dehors par les amis à recevoir, les ordres à donner relativement à mes funérailles ; mais Jeanne et Blanche égrenaient leur chapelet auprès de moi et Gui ne quittait pas mon chevet où il se lamentait tout haut. Que faisait donc Robert ?

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